« (…) Cette contrainte française de l’anonymat interdit toute recherche sur ses origines. C’est grave car cela efface, en fait, tout un espace psychique de liberté, où sont enfouis nos questionnements sur le mystère de notre naissance, la filiation, la sexualité, l’identité. Ce savoir fragile, indispensable à la réalisation de tout être humain est proscrit par la loi (…) ».
Source : Journal le Monde du 23 juin 2010