« La levée de l’anonymat donnerait moins d’importance au lien biologique : c’est dire « ça existe », les enfants sont toujours nés d’un homme et d’une femme, y compris dans les familles homoparentales ou d’un don. Il n’y a aucune raison de cacher ce donneur si on est bien clair sur le fait que le donneur a contribué à donner la vie mais rien de plus. Il n’y a aucune raison de planquer l’information sur les donneurs, il faut laisser l’enfant accéder à l’information s’il le veut mais il n’est pas obligé. Il doit pouvoir faire la démarche mais sans que cela aboutisse à une confusion père géniteur »